Voici le sujet RP du forum, en tant que MJ je vous demande quel est votre personnage (sachant que l'univers est un univers de fantasy dans le Bas Moyen Age) Carte du Royaume de Vilarie: https://imgur.com/azCfQKG Carte des factions (page 1-...): https://imgur.com/UfXNhee Parchemin des mages concernant la magie: https://imgur.com/NDlccya Résumé (jusqu'à la page 60): Le roi vous a chargé de résoudre deux problèmes: l'invasion orque au sud et la révolte au nord. Le Chasseur (mewfour) est au front face au Sorcier et se fait battre par ce dernier qui se moque de lui et le ridiculise, le Chasseur renverse néanmoins la situation et fini par tuer le Sorcier qui lui donne un étrange livre. Au cours de sa lecture, le Chasseur apprend que le Sorcier qu'il a tué n'est autre que lui même (plus vieux) qui vient de remonter le temps. L'ingénieur (ou Xortias d'Ylliam) (Clyde) après avoir utilisé ses armes de jet contre les orcs pour les ralentir et les empêcher de passer est tombé de l'arbre sur lequel il était. Il essaie maintenant de contourner les orcs. Il rencontre le Chasseur qui, au cours d'une altercation manque de le tuer. Heureusement, Xortias est sauvé par un soldat anonyme et reprend sa mission d'espionnage. Le chasseur et Xortias, malgré leurs différents, s'unissent pour attaquer un camp orc, ils sont rejoints par un mystérieux chercheur (aquilacaesare). Ces trois personnages ont détruit ce camp orc et sont maintenant au Fort du Roc-du-Lac parmi les défenseurs. Ils se racontent ce qui les a mené là. Les orcs assiègent le Roc du Lac. Le chercheur a réussi à quitter le Fort pour tenter un plan secret qu'il a manigancé. Le chasseur et l'Ingénieur sont toujours dans çe château. Le vieux, ou l'homme (kjeg) est dans son coin et s'isole pour mener à bien son but mystérieux. Aladjëa (Sesra) le suit grâce à Nerra, sa panthère. Les deux se rencontrent dans le domicile qu'il vient de construire et font connaissance. Le vieux décide de lui apprendre la magie et lui parle d'une légende à propos de l'oiseau qui l'accompagne. Les cours de magie ont commencé. Des mages rendent visite à Kjeg et lui posent des questions sur son frère avec qui il a perdu contact depuis un tragique évènement ayant eu lieu il y a longtemps. Le vieux fait une crise de folie mais est finalement ramené à la raison par Aladjëa. Mitrhidaji (Basdk) arrive, au sein de son bataillon de Nains vers le front au niveau du Roc du Lac, il rencontre un armée elfe et un mystérieux messager. Celui-ci l'informe que des armées naines ont été vaincues. Et enfin Rujvr (raphdel49) fait des trucs de mercenaire et rejoint le chasseur, l'ingénieur et le chercheur au Roc-du-Lac. Plâ Khân (Stormtrooper) essaie d'aider les assiégés. Il tue un ancien ami qui a rejoint les orcs et réussi à entrer dans la citadelle du Roc du Lac. Personnages n'étant pas intervenus: Gaster (Somebody) et Throrqik (Raph45)

Je pars donc à la recherche de corde, de lianes, de fibres, de lierres, de tout ce qui peut faire un fillet solide. Je trouve rapidement une liane, asser solide, et assez longue. Elle pourra sans problème supporter mon poids, même si j’étais 5 fois plus lourd. Le problème, c’est qu’elle grimpe dans un arbre. Heureusement, cet arbre est juste à côté du mien. Je grimpe donc et passe une bonne heure à la démêler, pour la faire passer sur mon arbre, et tisser une ébauche de filet. Une fois que la liane passe six fois sous mon établi, en reliant les arbres autours, je la fais grimper vers le soleil. En effet, pour garantir sa solidité, elle ne doit pas mourrir, et doit avoir un bon accès au soleil. Comme ça, elle se solidifiera de jours en jours. La journée se termine, et j’ai un toit, et un début de sol. Ma nouvelle demeure s'améliore. Je commence à me préparer un repas, quand j’entends quelques gazouillis. Cela me rappelle avent que je me fasse espionner. Dans ma maison. Il y avait l’arbre, là, et dans ses brancres, un petit nid. Je me penche pour regarder par la fenêtre, et manque de dégringoler en ratant une branche, juste avant de revenir à la réalité. Je n’ai pas de fenêtre ici. Mais il y a des ouiseaux. Ils chantent très bien. Mais ils sont très laid. Je les recconais. C’est ceux qui charment les voyageurs pour les attirer dans des pièges et les manger. S’il y en a ici, c’est parce qu’ils ne sont pas chassés. Leur chaire est délicieuse, et leurs plumes font les meilleurs coussins. Je ne sais pas pourquoi, mais je suis un des rares humains à ne pas tomber dans leur piège. Toutes les personnes que j’ai connues ne peuvent y résister. S’ils restent ici, je serai tranquille. J’échange un regard complice avec l’un d’eux. Dans ces yeux, je lis une telle volonté de vivre, que je l’invite à me rejoindre. Il me reste un petit morceau de viande. Je le lui offre. Dans ses yeux je lis une grande reconnaissance. Je vois aussi qu’il sait que je suis insensible à son chant. Je vois dans son regard ce que je ńai jamais vu auparavant : un regard d’amitié. Et l’oiseau s’envole. Jamais je n’oublierais ce regard.

DocteurDu: là, le sorcier ne se moque pas de moi, regarde mon dernier message: Le Chasseur s'écria alors: tu crois donc être puissant, petit sorcier dirigeant cette petite armée d'orcs? Mais j'ai déjà vaincu des sorciers créant des armées entières de monstres et serviteurs des Titans sans qu'ils puissent m'arrêter! Et tu ne vas pas changer la règle!" Le chasseur attrapa alors son arc, ainsi qu'une de ses flèches perçantes, qu'il tira sur le sorcier. Le sorcier, surpris de la vitesse de ces gestes, fut atteint au bras, et libéra le Chasseur. Puisque tu ne veux pas dire ce que fais le sorcier, je m'en charge: Le sorcier arracha alors la flèche de son bras, tout en fredonnant quelque chose. Pas une goutte de sang ne coula, ce qui était étonnant. Il ne s'était cependant pas aperçu que dans ce temps, le Chasseur s'était remi debout, avait encoché deux flèches sur son arc, et s'était rapproché d'un pas. Il tira les deux flèches, qui atteignirent leurs cibles: celle du haut, explosive, passa à travers le trou pour les yeux et explosa, et celle du bas, tranchante, le traversa de part en part au niveau de son coeur. Le sorcier, ou du moins son corps, tomba à la renverse, le Chasseur lui dit: "quel nom dois-je inscrire sur ta tombe? Désolé d'avoir volé ta phrase, Kjeg, mais je la trouve super classe" puis planta sa lance qu'il avait gardé dans son dos dans le trou créé par la flèche dans le torse du sorcier. A ce moment, toute la lance s'illumina selon un motif en spirale, faisant ressortir les décorations noires, invisibles en temps normal. DocteurDu: à toi de dire si mes actions ont réussies ou échouées, et si le sorcier a survécu.

Le Sorcier, malgré son état désespéré éclate de rire. Il commence a perdre beaucoup de sang: «Tu es doué voyageur, très doué... hreu hreu...mais si tu me tue, tu ne rentreras jamais chez toi...» Son rire s'intensifie, des orcs commencent à arriver mettent en joue le Chasseur. «Alors, pense tu... pense tu que me tuer... vaille la peine?... Décide toi il est encore temps... hreu hreu...» le Sorcier commence à s'affaiblir et son rire meurt dans sa bouche qui commence à se remplir de sang.

"Je n'écoute pas les serviteurs du chaos!" dis le Chasseur. Il replongea la lance dans le corps du sorcier, puis se jeta à terre pour éviter une volée de flèche. Il tira quelques flèches explosives pour semer la confusion dans les ranges des orcs, puis se rua sur le plus proche, une flèche dans chaque main, qu'il utilisa comme des poignards afin de trancher la gorge de ses ennemis. Voyant qu'il n'y était pas très fort, il reprit son javelot et son bouclier, et alla vers l'aval de la rivière. Il vit que les troupes humaines et naines commençaient à combattre ensemble, et que les lignes organisées des parcs l'étaient d'un coup moins.Je pense que le sorcier que j'ai battu ici n'est qu'un simple sous-fifre, et que le véritable chef se trouve en lieu qui m'est actuellement inconnu. Celui-là, je ne pourrai pas le vaincre seul. Il y aurait un de ces sorciers serviteurs à chaque lieu de bataille, qui en serait plus ou moins responsable. Raph😐a dernière fois qu'on s'est vu, c'était dans la clairière, qui est à plusieurs heures à cheval du champ de bataille où je suis. Tu ne peux pas m'avoir rejoint si vite à pied. De plus, je suis au moment où ton personnage est sensé me voir sur une colline au milieu des troupes orcs. DocteurDu : je n'ai pas hésité à tuer le sorcier, car je pense pouvoir rentrer avec l'aide de Kjege😆es, à cause du livre dont j'ai parlé il y a quelques pages. Kjege😆es: ça va bientôt être l'heure du retour de mon cheval, il va donc falloir que j'écrive son histoire. Le tien est resté derrière les lignes humaines: je l'ai abandonné avant d'entrer dans la bataille, pour éviter de le blesser.

DocteurDu, merci pour le résumé, il faudrait en faire un toutes les 5 pages: en gros, le prochain à la page 20, puis 25, 30, 35...

.

Je courrais vers le sud, car les créatures démoniaques semblaient plus nombreuses et il faisait froid au nord, très froid. Jamais ma forêt, que mon peuple avait déserté plus de 5 hivers auparavant, ne s'était plainte du froid, il fallait donc que je trouve un lieu propice pour que mes amis (les arbres) puissent prospérer, c'est alors que je vis quelque chose qui bougeait, cela ressemblait à une elfe, seulement, ses oreilles n'étaient pas aussi pointues que celles d'un elfe (c'est Sesra), c'est alors que j'entendis un rugissement, et cette lfe me sauta dessus, j'eu àpeine le temps d'esquiver et de sortir mon épée qu'elle s'arreta net "Tu es donc un elfe?" "Oui." "D'où viens-tu?" "Je viens de la grande forêt du Nord, que les autres elfes ont désertée il y a bien longtemps, je suis le dernier qui vis là-bas." "Tu es donc Centiok?" "Oui, comment me connais-tu?" "Tes parents sont devenus fous lorsque tu es resté là-bas, ils en sont morts!!" Et sur ce elle se retourna alors que je lui posait une dernière question: "De quelle race est-tu?" "Je suis une demi-elfe, mi-elfe, mi-humaine.". Je continuais vers le Sud avec la pensée macabre de la mort de mes parents.

Le Sorcier, au moment de son dernier soupir lance un dernier sort en te disant: «Je ne t'ai pas reconnu...N'aurais pas du... insulter... N... avons bien chan... Réessaie là où j'ai échoué...Prends mon...» Le Chasseur remarque que le Sorcier a une sorte d'objet qui ressemble à un livre ou à un carnet qui dépasse de sa poche. Mewfour, quand tu veux lire le livre, dit le moi, je t'ecrirai ce que tu lis

« Il se détachait de Kjeg et, 2 heures plus tard, il vit Mewfour avec un sorcier, il ne sut quoi faire ! » c’est quoi ça ? Tu étais accroché à moi ?? Alors que tu n’a pas le droit de me suivre ? Ou alors j’ai rien compris. Je regarde l’oiseau battre régulièrement des ailles. Il vole. Il utilise très peu d’énergie par rapport à moi, quand j’ai surélevé mon établi. Même si je calcule proportionnellement au poid. L’oiseau part. Alors je prends mon repas. Puis je me couche sur l’établi, comme hier et avant-hier, pour dormir. À mon réveil, il est là. L’oiseu est revenu. Je le nourris, et cette fois il ne repart pas. Il vient se poser sur mon épaule. Alors j’ose lui caresser le dos. Il ne part pas. Il reste là. Alors je commence mon planing de la journée. Je commencerai par une heure de méditation sur la nature, puis je chercherais des lianes pour mon filet. Et je chercherai la réponse à la question qui me torture l’esprit depuis que j’ai découvert la magie, dans les livres runique de cette longue grotte, il y a des années de ça. Ou plutôt depuis le moment ou j’ai commencé à l’utiliser, et à remarquer que je pouvais voir très facilement où j’avais déjà utilisé la magie. Depuis, je ne cesse de chercher à chacher, à masquer ceci. J’ai déjà compris comment on sent l’utilisation. Et pourquoi cela nee’est repérable que pendant une dizaine de jours. Lorsqu’on utilise la magie, on doit puiser de l’énergie quelque part. On peut sentir le manque d’énergie à un endroit. Comme lorsqu'on prends du miel. On peut voir la surface lisse et régulière du miel, puis un trou là où on en à prélevé. Avec le temps, le miel s’écoule pour refaire une surface plane et régulière. Il y a plusieurs miels, qui sont plus ou moins liquide, comme il y a plusieurs matériaux, qui repartissent leur énergie plus ou moins rapidement. Il y a deux solutions pour accélérer ce phénomène. Soit on chauffe le miel, et il devient plus liquide, mais rendre les matériaux plus conducteurs à l’énergie demande beaucoup d’énergie, donc c’est un cerle vicieux. On peut aussi prendre du miel sur toute sa surface, ainsi il restera régulier. C’est plus envisageable, mais ça demande du temps de préparation.

j'ai continué de suivre Nerra pendant la soirée. Le matin, nous avions vu un chevreuil brouter sous un arbre mais il est parti très vite. Et maintenant, nous approchons d'une toute petite clairière. Nerra s'assied. Je m'approche et grimpe dans un arbre (j'aime bien voir les choses de haut). Un vieil homme est là, un oiseau qui m'est inconnu sur l'épaule. Je reconnais l'homme, c'est celui qui nous a dérangé il y a quelques soirs. C'est étrange, il a l'air tellement paisible, assit en tailleur, les yeux rivés vers la mésange royale qui picore dans l'herbe là-bas. Pas comme quand il fuyait. Nerra s'est rapprochée, elle est juste sous mon petit arbre. Si l'homme tourne la tête, il nous verra c'est sûr. Son oiseau ne bouge pas malgré la présence de Nerra. Il a doit comprendre que nous ne sommes pas méchantes. Il tourne juste la tête vers nous, comme pour prévenir l'homme de notre présence, puis, comme l'homme ne bouge pas, il s'envole. Comme tiré d'une rêverie, l'homme tourne la tête vers nous. Je croise son regard calme.Kj, on peut dire que tu ne vois pas tout de suite que je suis une demi-elfe et que je sais un peu me servir de la magie ?

Je dois survivre. Je ne sais pas pourquoi, pourtant ce n'est qu'un royaume qui m'importe peu. J'ai des rêves à réaliser, je ne dois pas mourir ici. Est-ce que c'était vraiment nécessaire de prendre la folle décision de traverser le fleuve Vuyjoir pour aller de l'autre côté ? D'autres l'ont bien fait. Si je ne le fais pas, il sera trop tard, les orcs auront installé un camp permanent, des gardes, enverront des renforts. La place forte sera définitivement entre leurs mains. J'ai beau ne pas connaître ce pays, j'aurais horreur qu'il soit en possession des orcs. Mon pays pourrait être menacé. Ce ne sont pas des migrants, ce sont des créatures de combat puissantes, dangereuses, et manipulables. Je ne dois pas mourir ici, même si je ne tiens pas à la vie, ce serait honteux. "QUE ? Qu... bloub bloub bloup bbb... ". J'ai heurté un gros rocher. Impossible, vu le débit du fleuve, sa présence depuis la nuit des temps, il aurait dû emporter ou raser un rocher aussi proche de la surface. C'est autre chose, je ne sais pas. J'hésite encore à ce que ce sera, mais j'espère que ça aura une importance dans l'histoire Je dérive très loin, et j'arrive à sortir la tête de l'eau de temps en temps pour respirer, difficilement. J'aperçoit mon cheval, il a vu que j'étaus en difficulté et il vient. Il faut qu'il me voenne en aide avant que la corde derrière ne se tende, sinon je resterai au milieu, ou ramené vers l'autre rive, mais trop loin pour m'échouer. Je n'aurai pas la force de tirer la corde en contrant le courant. [...] Furtif me doit une fière chandelle, il m'a jeté une corde en la tenant avec ses dents, et j'ai réussi à m'accrocher. Il a pu me tirer hors de l'eau. Cela fait maintenant une heure et demi qu'on a commencé à essayer de faire un pont de fortune. J'ai réussi à faire la base de cordes, avec les 2 cordes tendues en haut, et deux cordes enroulées autour de ces deux cordes pour servir de base aux grosses branches, que furtif a récupéré, que j'ai cassé à bonne longueur, et qu'on a disposées par trois sur la largeur en les enroulant aux cordes pendantes. Je suis passé sans encombre, mais furtif a eu plus de mal. Le pont n'était pas plat, un peu glissant, et la hauteur entre les planches et les cordes qui tenaient le pont était d'à peine un mètre. Il aurait pu passer par-dessus. J'ai récupéré et caché les rondins et la corde qui faisait office de support, pour que le pont soit moins visible et que personne ne puisse rapidement y passer. Celui que j'ai attaqué tout à l'heure n'était plus sur la colline, et je n'apercevais plus le type fou de tout à l'heure. Je ne vais donc pas le rencontrer ? Je vais tout devoir faire seul, une fois encore. Et je suis à cours d'imagination pour combattre les gobelins. L'imagination est une sorte d'élément liquide, visqueux, qui se renouvelle en continu, mais lentement. Quand on en use, c'est comme si on en prenait un bout pour le sortir de soi. Quand il est épuisé, il faut attendre qu'il se renouvelle, on peut l'aider de différentes manières. L'une d'elle, c'est de creuser souvent et beaucoup. en effet, plus on creuse régulièrement, plus il coule vite, moins il est visqueux et indéchiffrable. De plus, comme on creuse un peu le sol avec, ça lui donne plus de place pour se stocker. Mais la contrepartie, c'est que plus il coule vite et est fluide, plus il est inssaisissable, comme l'eau, et on a pas le temps de le sortir qu'il retombe. Si j'utilise cette métaphore, peut-être réussirais-je à trouver une solution pour mieux exploiter mes atouts. Peut-être que c'est valable aussi pour la magie, mes pouvoirs de loups ne sont pas inépuisables.